Test du MSI GT73VR 6RF Titan Pro

Le laptop MSI GT73VR 6RF Titan Pro est une véritable bête de course, mais on le déconseille à cause de son prix exorbitant.

Le MSI GT73VR 6RF Titan Pro est un véritable foudre de guerre. Faisant partie de la tendance des Laptops taillés pour le gaming, cette machine surpasse de nombreux PC prétendumment Gaming. Un petit coup d’oeil dans ses caractéristiques.

• Un Intel Core i7-6700HQ (Quad-Core 2.6 GHz / 3.5 GHz Turbo - Cache 6 Mo)
• 16 Go de RAM
• Une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 1080 avec 8 Go de mémoire embarquée
• Un disque dur principal en SSD de 256 Go
• Un disque secondaire de 1 To en SATA
• Un écran de 17,2 pouces avec une résolution de 1920 x 1080
• Le prix est de 3000 euros !

Des caractéristiques banalement impressionnantes ?

Quand on voit ces caractéristiques du MSI GT73VR 6RF Titan Pro, d’un coté, on est impressionné et de l’autre  coté, on se dit que les Laptops commencent vraiment à se ressembler les uns par rapport aux autres. Et oui, on a toujours un processeur Core I7, 16 ou 32 Go de RAM et une bonne GTX 1080. Mais est-ce que cela suffit pour faire un bon Laptop. Bien sûr que non. Le principal problème est que ces composants sont dédiés au PC standard et même si on peut crier face à cette étroitesse d’esprit, on peut penser qu’une telle puissance sur un chassis aussi compact permet de faire de bonnes grillades en hiver.

Une  température de 65 degrés Celsius… au démarrage

Quand on voit les sites spécialisés qui ont fait un test du laptop MSI GT73VR 6RF Titan Pro, on voit souvent qu’il démarre à une température de 65 degrés Celsius. C’est catastrophique et on peut penser que cela va monter à 65 ou 70 degrés pour des tâches bureautiques et multimédias et carrément à 80 degrés pour faire du jeu. Même si les processeurs et les GPU actuels sont conçus pour résister à de hautes températures, vous savez que vous avez un problème quand vous avez un démarrage aussi brulant dans tous les sens du terme.

3 000 euros, c’est beaucoup d’euros de trop

La seule raison pour laquelle les constructeurs balancent ce type de Laptop Gaming est  de nous pondre un prix avec beaucoup de zéros. Ce laptop MSI GT73VR 6RF Titan Pro coute 3 000 euros ! Putain, comment peut-on proposer un tel prix en 2016 alors que la vente des PC et des Laptops sont en chute libre ? On a cette mentalité de tout mettre sur les composants les plus puissants en espérant que cela va attirer quelques pigeons de plus qui pensent qu’une GTX 1080 est la carte la plus puissante du monde. Voilà une phrase complètement débile, car l’année prochaine, on aura une carte plus puissante et vous pazserez pour un ringard avec votre 1080.

Le bruit infernal

Après les tests sur les sites spécialisés, j’ai vu également une vidéo Youtube (je mettrais le lien si je le retrouve) et la nuisance sonore est assez Hardcore. Le testeur a démarré ce laptop MSI GT73VR 6RF Titan Pro  et pendant les 10 premières minutes, on entendait un silence complet. Le testeur a approché son micro, mais la nuisance était minimale. Ensuite, il a commencé des tâches légères comme la navigation et le bruit est devenu audible en quelques secondes. Et quand il a lancé le Witcher 3, alors on ne savait plus si on entendait le bruit du jeu ou celui du laptop ! Même si le système de refroidissement a fait de son mieux et le bruit est devenu acceptable au bout d’un temps, cela reste un bémol majeur pour un laptop qui coute près de 3000 euros.

Comment désactiver les vidéos Autoplay sur les sites ?

Non, franchement, j'en ai marre. Je n'ai rien contre la publicité, car j'en affiche sur mes sites, mais je déteste les vidéos autoplay. C'est une plaie et les personnes qui les imposent méritent une balle dans la tête. Et quand un site ne propose pas un, ni deux, mais 3 vidéos publicitaires en Autoplay, vous avez juste des envies de meurtre et surtout de bloquer ces vidéos une bonne fois pour toute. Etant donné que ce sont des vidéos publicitaires, vous pouvez les bloquer avec un bloqueur de pub. N'utilisez pas Adblock plus, car c'est une véritable passoire. Il ne peut rien faire contre les vidéos Autoplay. Je vous recommande d'utiliser uBlock qui est disponible comme une extension pour Chrome et Firefox.

Mais cela ne concerne que les publicités. Il arrive que ces connards de webmestre imposent des vidéos Youtube en Autoplay et il faut passer par les paramètres des navigateurs.

Comment bloquer les vidéos Autoplay sur Chrome ?

Pour bloquer les vidéos Autoplay sur Chrome, allez dans Paramètres et cliquez sur Paramètre Avancés :

Ensuite dans la partie Confidentialité, cliquez sur Paramètres de contenu :

Dans la page qui s'affiche, défilez jusqu'à Plugins et activez l'option Cliquer pour Lire (L'option par défaut sera Exécuter automatiquement).

Et c'est tout ! Désormais, vous devrez cliquer pour pouvoir lancer une vidéo. Vous pouvez également choisir l'option Bloquer tout si vous voulez désactiver totalement le lancement de vidéos. Si cela ne fonctionne pas une première fois, retournez dans les paramètres de Plugins et cliquez sur le lien en bas qui s'intitule Désactiver les plugins individuels.

Dans la liste des plugins, cherchez le plugin Adobe Flash Player et décochez l'option Toujours autorisé si c'est nécessaire.

Si vous voulez désactiver totalement le Flash dans votre navigateur, cliquez sur l'option Désactiver. Le Flash est une vraie passoire et il y a beaucoup d'infections possibles et donc, la désactivation du plugin Flash permet d'éviter les problèmes.

Comment désactiver les vidéos Autoplay sur Firefox

Pour désactiver les vidéos Autoplay sur Firefox, allez dans la barre d'adresse et tapez about:addons. Dans la liste des plugins qui s'affiche, cherchez Shockwave Flash ou similaire.

Et choisissez l'option Demander pour activer. Dans les anciennes versions de Firefox, on n'a pas cette option, mais on peut désactiver totalement le plugin ce qui n'est pas une mauvaise chose. La prochaine fois que vous visitez un site avec une vidéo Autoplay, Firefox vous demande d'abord la permission si vous voulez la lancer ou non. Au lieu de la vidéo, vous aurez juste un carré gris ou blanc.

Le guide d'achat pour un laptop Ubuntu

J'ai eu l'occasion de lire des dizaines de guide d'achat pour des Laptops Ubuntu. Même si je ne met pas en doute l'indépendance de leurs auteurs (je déconne), on remarque une méconnaissance totale de Linux et de ce qu'il faut savoir pour acheter un Laptop Ubuntu qui est certifié. La plupart des sites spécialisés se contentent de lister des modèles basiques qui sont souvent incompatibles avec Linux.

Test d'Adobe Premiere Elements 13

Adobe Premiere Elements possède une évolution atypique depuis sa première apparition en 2004. Il est conçu sur le modèle d'Adobe Premiere Pro avec les outils d'effets et d'animations et cela reste toujours un logiciel de montage vidéo avancé. Cependant, tous les utilisateurs ne vont pas accélérer des objets animés en utilisant des courbes de Bézier. Et les différentes versions d'Adobe Premiere Elements ont progressivement ciblés les utilisateurs novices. Toutefois, on peut dire qu'Adobe Premiere Elements 13 conviendra aux débutants, mais également aux utilisateurs expérimentés grâce à ses options disponibles.

Test du disque dur SSD Crucial M550 en 256 Go

Le marché des disques durs SSD a beaucoup évolué en quelques mois. Passant d'un prix de 1000 à quelques centaines d'euros, les disques durs SSD deviennent abordables pour la majorité et en fait, ils sont inclus dans la plupart des configurations moyen de gamme. Et le disque dur SSD Crucial M550 est sans doute l'un des meilleurs actuellement sur le marché.

Test de la barre de son Samsung HW-H7501

Il y a 2 types d'utilisateurs dans les Homes Cinema et les équipements Hi-Fi. Le premier se contente de ce qu'il a sous la main tandis que le second exige les composants les plus performants tout en intégrant un design parfait qui ne détonnera pas dans son installation. Les télévisions incurvés de Samsung sont disponibles depuis quelques mois, mais cela ne sert à rien de dépenser des milliers d'euros dans ce type de téléviseur si le son ne suit pas.


Et c'est pourquoi, Samsung nous propose sa barre de son HW-H7501 qui va s'intégrer parfaitement avec une télévision incurvée. On avait déjà le H7500 qui était la première barre de son incurvée au monde et Samsung reste fidèle à ses pratiques en proposant un modèle amélioré dont la connectivité et la polyvalence sont le pivot central.

Le design du Samsung HW-H7051

Le design de la Samsung HW-H7051 est assez exceptionnel quand on connait la faiblesse de Samsung dans ce domaine. Le rvêtement en aluminium est du plus bel effet et la courbure de la barre de son s'incorpore parfaitement avec une télévision compatible. En effet, Samsung veut qu'on utilise exclusivement ses équipements dans ses Homes Cinemas et on peut dire qu'il sait soigner l'emballage. En fait, notre test montre une intégration si parfaite entre le téléviseur et le Samsung HW-H7051 qu'on a l'impression que les 2 ne font qu'un.

La performance du Samsung HW-H7051

Le design est une chose, mais qu'en est-il de la puissance sonore ? La norme 8.1 du Samsung HW-H7051 restitue la plupart des sonorités grâce aux 8 hauts-parleurs indépendants qui dégage une puissance de 160 Watts. Et si vous ajoutez le caisson de basse avec sa puissance de 160 Watts, vous obtenez une puissance considérable de 320 Watts RMS. On avait craint que la sortie sonore ne devienne caverneuse, car on pensait que le caisson de basse allait nuire à la sonorité pure. Mais au final, on a été agréablement surpris par ce caisson qui enveloppe gracieusement l'environnement sonore avec une répartition optimale.

Evidemment, ce type d'installation nécessite un espace suffisant. Dans une pièce moyenne, le Samsung HW-H7051 tient toutes ses promesses, mais dans un local de type Loft, on a quelques disparités dans la restitution sonore. En testant avec quelques morceaux de Pachelbel, le Samsung HW-H7051 nous a donné des sorties limpides, mais on a eu des problèmes lorsqu'on a monté avec les aigus avec un test de 5e symphonie de Beethoven. Toutefois, ces erreurs ne se produisent que dans des cas extrêmes et en général, le Samsung HW-H7051 restera performant dans une utilisation familiale. On regrette juste qu'il n'atteigne pas la qualité du très haut de gamme quand on voit son prix qui avoisine les 600 euros.

La polyvalence et la connectivité du Samsung HW-H7051

L'un des points fort du Samsung HW-H7051 est sa connectivité. Intégrant parfaitement le Bluetooth, on pourra lancer des musiques de son Smartphone ou de sa tablette et la sortie sera directement gérée par le Samsung HW-H7051. La réception et l'émission du signal sont performants et on n'a souffert d'aucune latence.

Le Samsung HW-H7051 intègre également la technologie Bluetooth PowerOn qui permet d'activer la barre de son à distance via le Bluetooth d'un Smartphone ou autre. Et c'est un véritable plaisir de le faire, car on a véritablement une barre de son quasi universelle qui est déjà prête pour une maison connectée avec le téléviseur, l'installation Home Cinema, mais également le PC et les appareils mobiles.

Les formats supportés et Soundshare

Le Samsung HW-H7051 supporte les formats FLAC, OGG Vorbis, WAV, AAC, MP3, WMA et il possède une prise HDMI ainsi que la prise Jack standard de 3,5 millimètres. Son décodeur intégré vous fera bénéficier du Dolby Sound et du DTS et ce modèle est également fourni avec une télécommande.

Une autre caractéristique majeure du Samsung HW-H7051 est qu'il intègre la technologie Soundshare de Samsung. Cette technologie permet à la barre de son et au téléviseur de communiquer en utilisant le sans fil. Ainsi, plus de câblage qui vient détruire le design de votre somptueuse installation.

En conclusion

Samsung nous propose un produit de très belle facture avec le Samsung HW-H7051. Le seul bémol est qu'il n'est pas aussi performant qu'un modèle de très haut de gamme tel que le Sonos Playbar. Mais le Samsung HW-H7051 reste performant dans la plupart des gammes de sonorités et sa polyvalence avec la connexion sans-fil reste inégalée pour le moment.

Au final, Samsung nous propose un produit qui est très facile à utiliser tout en possédant une intégration harmonieuse dans le design et la finition. Certes, c'est un produit qui est destiné à une clientèle exigeante puisqu'il est vendu sur le marché à un prix aux alentours de 600 euros.

Lire plus d'informations sur LDLC concernant le Samsung HW-H7501

Test du Reflex Pentax K-S1

Ricoh, l'entreprise qui avait racheté Pentax nous propose un modèle très prometteur avec le Pentax K-S1. Ce Reflex numérique sera disponible à environ 750 euros s'il est inclut avec son kit d'objectif en 18-55mm f/3.5-5.6 et 700 euros si on l'achète sans le kit. Et on peut dire que le Pentax K-S1 impressionne par sa qualité et sa conception.

Test de la tablette Lenovo IdeaPad Miix 2 de 11 pouces

Lenovo nous a proposé de bons produits dans la gamme des hybrides. On parle surtout la gamme Yoga qui est abordable et très modulaire. Et Lenovo remet le couvert avec la gamme Miix qui concerne des tablettes avec des claviers détachables et on ne s'avance pas en disant qu'on est mitigé.

La Lenovo IdeaPad Miix 2 exploite le concept entièrement détachable des hybrides. Elle est fournie avec un clavier en Dock et on peut utiliser le modèle de 3 manières différentes. On peut l'utiliser comme une tablette normale en enlevant le clavier, on peut fixer la tablette sur un support magnétique pour la transformer en Laptop et on peut déplier le clavier vers l'arrière pour regarder confortablement des films ou des photos.

Le Dock du clavier de 600 grammes intègre également un Touchpad avec des boutons intégrés. On trouve 2 ports USB à l'extrémité du clavier et un haut-parleur de la marque JBL qui se trouve tout au long du Dock. Quand vous placez le clavier vers l'arrière, ce haut-parleur nous fait directement face et quand on n'utilise pas la Lenovo IdeaPad Miix 2, un clip du clavier protège ce haut-parleur.

Une ergonomie catastrophique pour la Lenovo IdeaPad Miix 2

Le design est plutôt bien foutu, mais il n'est pas toujours pratique. Le haut-parleur rajoute du volume à l'audio, mais pas assez pour être déterminant et il a tendance à grésiller dès qu'on monte le son à fond. On ne peut pas non plus régler l'angle de l'écran comme avec la Surface Pro 3 de Microsoft. La Lenovo IdeaPad Miix 2 est parfaite pour une utilisation de type Desktop, mais quand vous la mettez sur votre poitrine, l'angle de vue n'est absolument pas optimal et on doit régler constamment la position.

Pour empirer les choses, l'insertion du clavier n'est pas stable. On a dû s'y prendre à plusieurs fois pour connecter les 2 composants. La réactivité du clavier n'est pas mieux avec des touches qui mettent du temps à répondre et le Touchpad est trop petit pour être confortable. Et concernant ses boutons intégrés, on doit les presser sur l'extrémité de la droite pour qu'ils enregistrent notre action.

Les composants et la performance de la Lenovo IdeaPad Miix 2

Et c'est franchement une honte, car ce clavier est la base de la Lenovo IdeaPad Miix 2. Il pèse le même poids que la Surface Pro 3 et les composants embarqués sont assez puissants. Ainsi, la Lenovo IdeaPad Miix 2 est fournie avec un processeur Intel Core i5-4202Y et 4 Go de RAM même s'il existe des modèles avec des Core i3. La performance nous a donné un Benchmark de 0.39 qui est dans la moyenne pour ce type de tablette. Mais la tablette Lenovo IdeaPad Miix 2 n'est pas faite pour les tâches gourmandes, donc oubliez les rendus en 3D et le traitement de photo à haute densité. Le CPU est conçu pour baisser sa fréquence en fonction de la chaleur et étant donné qu'il montre rapidement ses limites, il peut tomber de 1,6 Ghz à 1,1 Ghz en cas de surchauffe soudaine.

On apprécie le stockage de 256 Go en SSD et 128 Go pour les modèles moins chers. Et la Lenovo IdeaPad Miix 2 supporte les cartes MicroSD sans oublier des ports USB pour connecter des disques durs internes. En fait, cette tablette possède 3 ports USB, mais le troisième est dédié à la charge.

L'écran et la batterie de la Lenovo IdeaPad Miix 2

L'écran du Lenovo IdeaPad Miix 2 n'est pas mauvais en soi avec une résolution de 1920 x 1080. Sa luminosité est excellente avec 354cd/m² ce qui fait qu'on pourra l'utiliser en plein soleil sans problème. Le contraste nous a donné une note de 1,021:1 et les couleurs étaient suffisamment saturés pour nous donner des images de très bonne qualité.


Et on peut saluer l'excellence de la batterie. La Lenovo IdeaPad Miix 2 a duré 9 heures et 50 minutes dans un test d'utilisation légère. Et avec un test de lecture vidéo en 720P, le modèle a duré 7 heures et 7 minutes ce qui est un record pour une tablette hybride. La Surface Pro 3 n'avait duré que 5 heures et 24 minutes en comparaison.

En conclusion

A force de jouer à l'apprenti sorcier avec ses hybrides, Lenovo nous a donné un modèle inachevé. Ses composants, sa puissance, son autonomie sont excellente, mais sa maniabilité est totalement gachée par ce clavier à la con. L'ironie est que si Lenovo avait juste crée une tablette standard sous Windows avec ces composants, elle aurait pu devenir l'une des meilleures de la marque. La Lenovo IdeaPad Miix 2 de 11 pouces avec le Core i5 coute aux environs de 879 euros. Une tablette hybride est intéressante dans le monde convergent dans lequel nous vivons, mais encore faut-il avoir les moyens de proposer une certaine homogénéité dans l'utilisation.

Toutefois, la Lenovo IdeaPad Miix 2 est beaucoup moins chère que la Surface Pro 3 qui dépasse les 1 100 euros. De plus, vous devrez acheter un clavier supplémentaire tandis qu'il est directement fourni dans la Lenovo IdeaPad Miix 2. C'est un avantage qui n'est pas à négliger lorsqu'on sort sa carte de crédit.

Avec un petit effort d'ergonomie, la Lenovo IdeaPad Miix 2 de 11 pouces aurait pu écraser la Surface Pro 3, mais il se peut que son prix ait nécessité des sacrifices.

Plus d'informations concernant la Lenovo IdeaPad Miix 2 sur LDLC

Test de l'Acer Iconia Tab 8W

Autrefois, les tablettes d'entrée de gamme étaient surtout sous Android. Mais Acer pense qu'il est temps de changer et il nous propose donc l'Acer Iconia Tab 8W, un modèle d'entrée de gamme sous Windows 8.1. Elle sera disponible en novembre et pour être honnête, cette tablette nous a interpellé.

Test du processeur Intel Core i7-5960x

On a l'impression qu'Intel avait sorti l'architecture Haswell hier, mais elle est déjà vieille de 12 mois et cela correspond à une éternité dans le monde des processeurs. La nouvelle architecture Broadwell va sortir pour la fin de l'année et elle sera plus performante que l'ancienne sur tous les niveaux.

Test du LaCie 8big Rack Thunderbolt 2

LaCie s'engouffre dans le secteur du montage professionnel de vidéos en 4 K avec son LaCie 8big Rack Thunderbolt 2. Ce système de Rack à la norme 1u nous propose un duo composé de 8 disques durs SATA LFF et de 2 ports Thunderbolt 2.

Test de l'Acer Aspire ZC-606

L'Acer Aspire ZC-606 est le nouveau modèle tout en un de la marque dans la catégorie d'entrée de gamme. A un prix allant de 390 à 400 euros, ce modèle défie la concurrence dans un secteur qui reste réservé à des modèles haut de gamme. Evidemment pour ce prix, on a des composants qui sont largement inférieurs aux normes du marché. Et il nous propose Windows 8.1 avec Bing qui est intégré par défaut.

Test du Laptop Asus ROG G750JZ

Ces derniers mois, nous avons testé plusieurs Laptop haut de gamme, mais l'Asus ROG G750JZ est vraiment dans une classe à part. Embarquant un écran de 17,3 pouces, Asus nous propose un chassis imposant qui est nécessaire pour intégrer les composants les plus puissants du marché. L'Asus ROG G750JZ est l'un des Laptop les mieux conçus pour les jeux même si son prix va refroidir des ardeurs.

Test de l'imprimante HP OfficeJet 4630 e-All-in-One

L'imprimante HP OfficeJet 4630 de HP est destinée pour les petites entreprises et les bureaux indépendants. Combinant une impression en Duplex avec le Scan, le Fax et la photocopie, elle suffira aux tâches basiques avec une alimentation qui supporte une trame de 100 pages.

Test de l'Acer Aspire U5-620

L'Acer Aspire U5-620 fait partie de ces PC tout en un qui aspirent à grandes ambitions. Embarquant un écran de 23 pouces, des composants à la pointe de la technologie et un châssis plutôt compact, l'Acer Aspire U5-620 ne veut pas seulement devenir l'un des outils multimédias les plus puissants du marché, car il veut concurrencer directement l'iMac 21,5 pouces d'Apple qui reste l'une des meilleures machines tout en un actuelles.

Le design de l'Acer Aspire U5-620

Acer n'est pas surement connu pour son design. Quand on compare l'Acer Aspire U5-620 à l'iMac 21,5, on note une finition grossière avec des angles proéminents et une teinte noire qui prédomine sur le châssis. Ce châssis noir est quand même contrasté par les grilles de haut-parleur argentés qu'on peut retrouver sur le bas du modèle. A l'arrière, on a un support en aluminium qu'on peut ajuster et on retrouve des ports habilement cachés à l'arrière de la façade. Ce n'est pas mal, mais c'est loin d'égaler Apple.

La qualité d'affichage de l'Acer Aspire U5-620

Quand on lance l'Acer Aspire U5-620, l'écran de 23 pouces explose littéralement aux yeux. La résolution en Full HD et la diagonale ISP nous propose des images cristalines et limpides. Le taux de contraste de 1,052:1 permet d'avoir des couleurs percutantes. La fidélité des couleurs est respectable avec un Delta moyen E sur 3,37 et la saturation est parfaite sans aller jusqu'à l'excellence.

Le plus gros problème de l'affichage est le rétro-éclairage. On a mesuré la luminosité de l'Acer Aspire U5-620 à 210cd/m² ce qui est inférieur même si on le compare à un PC tout en un dans l'entrée de gamme. Quand on voit la luminosité du iMac qui explose à 400cd/m², on se dit qu'Acer a vraiment sacrifié la perfection pour pas grand chose. Et ce rétro-éclairage réduit la qualité des images qui nous avait impressionné à la base. Comme quoi, un petit détail peut tout gâcher.

L'écran tactile fonctionne bien avec une réactivité parfaite dans les Taps et les applications. L'agencement propre à Windows 8.1 est parfaitement exploité et le panneau supporte le multi-touches en 10 points. Toutefois, on n'est pas convaincu de l'utilité d'un écran tactile pour un PC tout en un, car on se fatigue à force de l'utiliser, mais le lancement des applications et le défilement des pages web est un véritable plaisir.

La performance de l'Acer Aspire U5-620

L'affichage est pas mal, mais Acer surpasse Apple sur ses caractéristiques pures. L'Acer Aspire U5-620 possède un processeur Core i7-4702MQ cadencé à 2,2 Ghz qui est assisté par 8 Go de RAM  et une carte graphique Nvidia Geforce GTX850M. Dans le stockage, Acer nous propose un volumineux disque dur de 1 To. Dans nos Benchmarks, l'Acer Aspire U5-620 a atteint une très bonne note de 0,8 qui le met quasiment à égalité avec l'iMac qui avait obtenue une note de 0,88.

Dans les jeux, le GPU Nvidia Series 8 d'Acer écrase littéralement Apple. Même avec un Benchmark Crysis en Full HD avec le niveau de détails au maximum, ce modèle est resté stable à 41 FPS tandis que l'iMac peinait à rester dans les 35 FPS. Le fait est que l'Acer Aspire U5-620 est tout à fait capable de gérer les jeux les plus gourmands de la génération actuelle sans trop de problèmes.

Les options et la connectivité de l'Acer Aspire U5-620

L'Acer Aspire U5-620 n'est pas un simple PC tout en un, mais c'est un véritable centre multimédia. On bénéficie d'un lecteur Blu-Ray et d'un Tuner TV avec le modèle Avermedia DVB-T qui permet d'utiliser ce modèle comme une télévision. Acer propose également une télécommande miniature, des sorties et des entrées HDMI pour des écrans secondaires, par exemple, pour connecter une console de jeux. Les hauts-parleurs à l'avant proposent une sortie audio digne de ce nom avec une répartition sonore optimale.

L'Acer Aspire U5-620 est conçu pour se connecter à tous les périphériques et réseaux imaginables. On commence avec le Wifi en 802.11ac et le Bluetooth 4, mais Acer n'est pas en reste en proposant des connexions filaires des plus complètes. 3 ports USB, un lecteur de carte SD et une prise Jack 3,5 millimètres à l'avant et à l'arrière, on retrouve un autre port USB 3.0, 2 ports USB 2.0 un Ethernet Gigabit et une sortie audio avec un Jack 3,5 millimètres. On apprécie toujours une connectivité complète, mais les ports à l'arrière sont assez difficiles à atteindre. Et étant donné que l'Acer Aspire U5-620 pèse plus de 8 kg, ce n'est pas vraiment confortable de soulever ce modèle juste pour brancher temporairement des connectiques. A moins bien sûr qu'on utilise les ports de la façade arrière pour des branchements permanents.

En conclusion

Certains pourront tiquer qu'on compare l'Acer Aspire U5-620 avec l'iMac, mais au final, ce sont bien les ambitions d'Acer de concurrencer Apple avec ce modèle. L'Acer Aspire U5-620 est impressionnant sur de nombreux domaines, mais quelques défauts sur le design et l'affichage nous laisse un gout amer. Cependant, le prix entre 1200 et 1500 euros est plus que raisonnable quand on compare la performance pure et l'écran de 23 pouces. En fait, c'est même un prix cassé pour un modèle haut de gamme.

Test du processeur Intel Devil's Canyon (Core i7-4790K)

Intel nous proposera sa nouvelle architecture de processeur Broadwell pour Noël prochain, mais cela ne signifie pas que la gamme Haswell est en fin de vie. Pour nous faire patienter sur les promesses de la nouvelle génération de CPU, Intel nous propose un nouveau modèle de sa gamme Haswell. Il s'appelle Devil's Canyon ou Haswell Refresh et on ne s'avance pas en disant qu'il est l'un des CPU les plus performants sur le marché.

Les nouveautés du processeur Devil's Canyon

Le processeur Intel Devil's Canyon n'a pas subi une refonte complète, car Intel a juste changé la dissipation de la chaleur. En effet, il a changé la substance thermique qui est intégrée dans le CPU et ce nouveau matériau permet de mieux dissiper la chaleur ce qui nous amène à de nouvelles possibilités sur l'OverClocking.

En termes pratiques, cela dépend si vous achetez un processeur Core i5 ou un Core i7. Pour le haut de gamme avec le modèle Core i5-4690K, Intel nous propose une fréquence de base de 3,5 Ghz qui est 100 Mhz de plus que son prédécesseur avec le Core i5-4670K.

Mais c'est une autre histoire avec le Core i7-4790K. Le modèle précédent, le Core i7-4770K avait une fréquence de base de 3,5 Ghz, mais le nouveau modèle commence directement à 4 Ghz. Dans les opérations mono-tâches, ce CPU avec l'architecture Devil's Canyon monte la fréquence jusqu'à 4,4 Ghz.

La performance du CPU Intel Devil's Canyon avec le modèle Core i7-4790K

Ce n'est pas une surprise que ce CPU Haswell Refresh affole tous les Benchmarks. Testé sous Windows 8 avec 8 Go de RAM et un disque dur Samsung SSD 840, le Core i7-4790K a reçu la superbe note de 1.27 et c'est une augmentation de 13 % par rapport au Core i7-4770K. En fait, cette note de 1,27 est la plus élevée qu'on ait vu sur un PC. Le test mono-tâche concerne les opérations de médias a reçu une note de 1,35.

Et on peut aller plus loin malgré ces incroyables performances. De la même manière que les processeur de type K-Class, L'Intel Devil's Canyon est fourni avec des multiplicateurs de type Turbo (cela signifie qu'on peut l'overclocker sans trop bidouiller). Ainsi, on a pu monter le Core i7-4790K jusqu'à 4,7 Ghz pour le mono et le double-tâche tandis qu'on a atteint les 4,6 Ghz pour des tests plus gourmands. Avec ces vitesses, le CPU Haswell Refresh a quand même atteint la note de 1,31 avec un ventilateur standard d'Intel.

Evidemment, une telle performance a un prix, mais on ne peut pas trop se plaindre. En effet, Intel vend son Core i7-4790K au même prix que le Core i7-4770K qui est d'environ 330 euros. Certains diront que c'est une sacré somme à dépenser pour un processeur, mais cela ne freinera pas les ardeurs des passionnés. On ajoute également que vous ne verrez pas la différence de performance de ce CPU à moins que vous n'utilisiez des tâches très gourmandes. Dans une utilisation normale, il est quasiment similaire à des modèles Core i3 ou Core i3 avec la même architecture.

On doit également comprendre que ce type de CPU nécessite une alimentation considérable. Si on retourne le CPU, on verra de nouveaux condensateurs qu'on ne trouve pas dans les processeur Haswell standard. Et pour les alimenter, les nouvelles puces sont alimentés par du 88W contrairement au 84W de leurs prédécesseurs. Cela signifie qu'on devra peut-être mettre à jour le BIOS d'une carte mère de type Series 8 pour utiliser les processeur Devil's Canyon. En revanche, les cartes mères de la gamme Series 9 supportent les CPU Haswell Refresh en natif.

En conclusion

Alors quoi ? Est-ce que vous devez vous précipiter pour acheter ces processeurs Devil's Canyon ? Non... Ces processeurs sont destinés à des passionnés de la performance à l'état pure et qui veulent avoir un PC qui détruit littéralement les Benchmarks. Il existe une catégorie d'utilisateurs qui sont obsédés par la puissance et Intel leur donne évidemment ce qu'ils veulent puisqu'ils sont prêt à payer une grosse somme.

Notons que cette performance exceptionnelle des CPU Haswell Refresh se base sur une gravure en 22 nanomètres. Alors imaginez ce qu'on pourra faire avec la prochaine architecture Broadwell qui est gravée en 14 nanomètres ?

Plus d'informations sur LDLC sur le processeur Intel Core i7-4790K

CYNK, Une entreprise technologique avec un capital de 39 dollars vaut désormais 6 milliards de dollars

La spéculation est une merde de la pire espèce, mais quand des cons spéculent, alors cela monte d'un niveau extrême. Une entreprise dont personne n'a jamais entendu parler et qui ne propose rien vaut actuellement 6 milliards de dollars, car elle a utilisé des mécanismes pour manipuler ses actions et les investisseurs.

Test du Laptop Toshiba Satellite S70-B

Windows se tourne de plus en plus vers la mobilité. Il perd la bataille sur les Smartphones, mais il règne toujours sur les Laptops. Et de nos jours, on voit beaucoup de modèles en 15 pouces et c'est pourquoi le Toshiba Satellite S70-B donne un nouveau souffle avec son affichage HD de 17,3 pouces et on peut le considérer comme un remplaçant digne d'un PC Desktop grâce à sa puce graphique AMD Radeon R9. Pour environ 980 euros, cette machine propose une puissance impressionnante.

Avec cette puissance, le Toshiba Satellite S70-B a dû faire quelques concessions sur la mobilité et le design. En fait, on dirait que la marque l'a conçu pour remplacer un PC. Et même si on peut voir certains aspects en métal, la plupart du châssis est en plastique et les courbes du design sont plutôt médiocres. Et sur la mobilité, le Toshiba Satellite S70-B pèse près de 2,8 kg et cela devient 3,3 kg si on ajoute l'alimentation et la batterie.

Les caractéristiques et la performance du Toshiba Satellite S70-B

Si on passe sur ce design qui n'en est pas vraiment un et qu'on parte sur les applications gourmandes en ressources et les jeux, on peut dire que le Toshiba Satellite S70-B se trouve dans son élément naturel. Son CPU Quad Core i7-4700HQ est celui des Laptops haut de gamme et il vous balance 16 Go de RAM dans la face. Concernant le disque dur, Toshiba a utilisé un de ses modèles hybrides d'une capacité de 1 To.

Dans un Benchmark en temps réel, le Toshiba Satellite S70-B a atteint une vitesse de 0,87 et c'est légèrement inférieur à des Laptops qu'on a déjà testé avec le même type de CPU. Mais je pense que c'est dû à l'absence d'un disque dur SSD. Malgré le fait que ce soit un disque dur hybride, le Toshiba Satellite S70-B est très réactif même dans les situations très gourmandes en multi-tâches. En fait, on a lancé des applications telles que Photoshop et Adobe Premiere Pro et la réactivité nous a fait croire que ce Laptop tournait sous un SSD.

La performance dans les jeux est décente et on peut remercier le AMD R9 M265X qui est un GPU de moyen gamme. Dans un test Crysis, le Toshiba Satellite S70-B a culminé à 40 FPS et il est descendu uniquement lorsqu'on a poussé la résolution à 1920 x 1080. Avec une résolution Full HD et des réglages au maximum, le Toshiba Satellite S70-B a atteint une moyenne de 36 FPS. Et en mettant les détails sur Ultra, le Toshiba est descendu rapidement à 21 FPS. C'est assez décevant si on compare au GPU de Nvidia dans la gamme 8 Serie. Ainsi, le modèle MSI GE70 2PE Apache Pro qui tourne sous un Core i7 et une Nvidia GTX 860M avait le double des FPS dans les réglages en Ultra.

L'autonomie du Toshiba Satellite S70-B ne restera pas dans les annales. Dans un test utilisant le minimum de ressources, le modèle a duré 5 heures et 14 minutes. En réglant la luminosité à fond, le Toshiba Satellite S70-B a duré uniquement 1 heures et 14 minutes.

L'écran du Toshiba Satellite S70-B 

On salivait d'avance face à l'écran de 17,3 pouces du Toshiba Satellite S70-B, mais c'est là que ce modèle nous donne sa plus grosse déception. En premier lieu, Toshiba n'a pas utilisé la technologie IPS qu'on peut trouver sur les Laptops haut de gamme et il a économisé sur le prix avec la norme TN. Les couleurs sont froides et artificielles et le test avec le colorimètre X-Rite a confirmé la catastrophe qu'on pressentait sur cet affichage.

Le seul point positif est la luminosité de 362cd/m2. En revanche, le contraste est faible à 492:1 et la dalle couvre uniquement 86 % de la gamme sRGB. De ce fait, les couleurs sont loin d'être riches et saturés. La restitution des couleurs n'est pas mieux et même les images les plus basiques nous ont semblé incroyablement fades. Et on ne parle même pas des angles de vue verticaux qui frustre l'utilisateur plus qu'autre chose.

On ne sera pas aussi radical sur le clavier et le Touchpad du Toshiba Satellite S70-B. Le clavier possède des touches suffisamment espacés pour qu'on puisse l'utiliser sans risquer de les confondre. Mais il n'est pas aussi abouti et on a l'impression de taper sur une boite à chaussure. Le Touchpad est loin d'être réactif et on a dû le presser plusieurs fois pour effectuer notre action.

Et franchement, c'est une honte et un gâchis total, car Toshiba a pris de très bonnes décisions sur d'autres aspects. Ainsi, on bénéficie de 2 ports USB 3.0, 2 ports USB standard et un port HDMI 1.4. Ce dernier permet d'utiliser un moniteur en 4K. Nous avons également le Wifi en 802.11ac et le Bluetooth 4.0. Et on apprécie que Toshiba nous gratifie d'un graveur DVD Blu-Ray sur le coté gauche. Concernant l'audio, la paire de haut-parleurs Harman Kardon nous propose une qualité acceptable.

En conclusion

Malgré de bons efforts, le Toshiba Satellite S70-B est une déception. Ce n'est pas vraiment la mauvaise qualité de l'affichage ou autre, mais c'est surtout son prix qui est trop cher comparé à ses faiblesses. Toshiba nous propose un bon modèle, mais il aura fort affaire avec la concurrence. Ainsi, le Gigabyte P34G v2 propose des performance supérieures dans tous les domaines dans un écran de 14 pouces tandis que le MSI Apache Pro GE70 2PE bat le Toshiba Satellite S70-B sur son propre terrain puisque le modèle de MSI possède également un écran de 17 pouces.

Au final, on peut dire qu'à moins que Toshiba baisse considérablement le prix de son Toshiba Satellite S70-B dans les prochains mois, on peut dire aux utilisateurs de l'éviter, car il y a des modèles plus performants sur le marché dans la même gamme de prix.

Lire plus d'informations sur le Toshiba Satellite S70-B sur LDLC (Le modèle de LDLC possède 12 Go de RAM au lieu de 16 sans doute pour réduire le prix)

Test de l'Asus Memo Pad 7 (ME176CX)

A une époque, le secteur des tablettes à bas prix était réservé aux petites marques, mais il attire désormais de plus en plus de grands constructeurs. Amazon avec sa Kindle Fire, la Tesco Hudl et la Barnes & Nobles HD coûtent aux environs de 130 euros. Et l'Asus Memo Pad 7 (ME176CX) vient de rejoindre le champ de bataille.

Test du moniteur Dell P2815Q

On nous vend des 4K à toutes les sauces ces derniers temps et Dell a présenté plusieurs modèles à bas prix pendant le dernier CES. Son moniteur Dell P2815Q est finalement disponible avec un design très épuré, mais on déchante vite quand on voit ce qu'il y a sous le capot.

Les caractéristiques et le design du Dell P2815Q

Le Dell P2815Q est similaire à son concurrent Asus PB287Q. Ainsi, on a une diagonale de 28 pouces et une résolution de 3 840 x 2160 avec un support ajustable. Le châssis possède une belle esthétique avec des points de pivot optimaux et on peut baisser et monter le support de 115 millimètres.

La connectivité du Dell P2815Q est plutôt solide avec un DisplayPort, un mini-DisplayPort, un port HDMI compatible en MHL et une sortie DisplayPort pour connecter un second écran sans oublier 4 ports USB 3.0.

La qualité de l'image du Dell P2815Q

Pour faire simple, la qualité d'image du Dell P2815Q est similaire au modèle d'Asus et on peut même dire qu'elle est supérieure. La luminosité a culminé à 290 cd/m² et le contraste a atteint 882:1 tandis que la température colorimétrique atteint la perfection avec 6504K. Les couleurs sont légèrement plus claires sur le Dell P2815Q que sur le modèle d'Asus, mais on peut dire que les deux constructeurs utilisent le même panneau d'affichage tellement les performances sont identiques.

Le Dell P2815Q n'est pas très convaincant avec le colorimètre X-Rite. On a eu des inconsistances sur le vert, le bleu et le jaune sombre et les nuances de gris n'étaient pas optimales. Le résultat est qu'on a eu un Delta E sur 3,28 et une déviation maximale de 6,28. C'est un résultat acceptable, mais rien d'exceptionnel. Ces problèmes se sont produits avec le réglage Standard, mais la configuration Texte a corrigé tous ces défauts. Avec ce dernier réglage, le Delta E était de 2,55 avec une déviation maximale de 6,56.

Mais évidemment, la principale critique sur le Dell P2815Q est qu'il supporte uniquement une entrée à 30 Hhz avec le DisplayPort ou le HDMI et on le remarque immédiatement. Le curseur de la souris fait des soubresauts dans Windows et les jeux ne dépassent pas les 30 FPS. Mais les films passent plutôt bien que ce soit dans les formats enregistrés en 24 ou 25 FPS. Dans ce domaine, le Dell P2815Q propose une performance identique  au modèle d'Asus.

En conclusion

Le Dell P2815Q avait tout pour réussir pour un moniteur en 4K à un prix inférieur à 1000 dollars, mais l'absence de l'entrée en 60 Hz gâche tout son potentiel. La qualité des images est similaire celle d'Asus, mais on est sceptique. Ce Dell P2815Q coûte environ 600 euros, mais en ajoutant 100 euros de plus, on peut avoir le modèle d'Asus qui ne possède pas ces limitations.

Test du laptop Asus X552C

Asus sait comment fabriquer des laptops à des prix imbattables. Il suffit de voir ce qu'il nous propose avec son VivoBook X200CA de 11,6 pouces ou le Transformer Book T100 et ses 10,1 pouces. Mais son modèle Asus X552CL va bien plus loin en intégrant des composants d'une excellente facture sur un écran de 15,1 pouces. Le prix d'environ 650 euros est vraiment intéressant si on regarde le CPU Core i5 et le GPU Nvidia puisque ses concurrents proposent la même configuration pour le double de ce prix.

Est-ce que vous allez tomber dans le piège de ce mail de Phishing ?

Il suffit parfois d'un rien pour qu'on clique sur le lien d'un mail de Phishing pour qu'on vole vos informations personnelles. Et les pirates deviennent de plus en plus sophistiqués en surfant sur les dernières tendances sécuritaires. Leur dernier truc ? Lisez le mail ci-dessous :

C'est superbement bien trouvé. Surfer sur l'exploitation d'une machine inconnue pour vous faire peur. De nos jours, de nombreux services vous demandent des explications si vous vous connectez d'une machine inconnue. Par exemple, c'est le cas lorsque vous changez d'ordinateur ou de téléphone. La personne qui avait reçu ce mail avait voyagé à l'étranger et elle a eu la maladresse de surfer avec la connexion Wifi de son hôtel sans aucune protection. Cela a suffit aux pirates qui scannent systématiquement ce type de réseau pour avoir son adresse mail.

Et le mail est totalement lié à son voyage à l'étranger ce qui fait que la victime peut tout à fait penser que c'est un mail légitime. Même le nom de domaine semble authentique. Mais ce n'est que de l'ingénierie sociale et la victime est une auteure expérimentée sur un blog technologique. Elle a déclaré qu'elle a failli immédiatement cliquer sur le lien malveillant. Alors imaginez les dégats d'un tel message sur Mme ou Mr Michu ?

Notez également la mention du fait que le compte mail considère le message comme étant Safe. La personne utilisait Outlook.com, mais le pirate a pu usurper le nom du domaine ce qui fait que cela passe malgré les protections d'un Webmail. Après, faut être un peu conne pour utiliser Outlook.com, mais cela reste une vraie merde pour des utilisateurs non avertis.

Faites toujours très attention quand vous recevez un mail demandant vos informations sensibles et ne vous laisser pas tenter à cliquer par réflexe.

Test de Sony Vegas Pro 13

Vegas Pro est le principal rival d'Adobe Premiere Pro et de Final Cut Pro X d'Apple. Pour une raison ou une autre, Sony Vegas Pro 13 n'est pas dans le radar des professionnels de l'industrie. Et Sony espère que cela va changer avec cette mise à jour avec une tonne de fonctionnalités destinés aux professionnels.

La première qui nous intéresse est le flux de travail par proxy. Des copies des vidéos en faible résolution sont publiés sur le Cloud après la capture et ensuite, on peut les télécharger sur un PC et les ajouter sur la Timeline de Vegas. Ces proxy sont remplacés avec la version en haute définition à la fin du processus.

Et cette option est idéale pour les équipes qui travaillent avec des délais serrés. Il aurait été également utile de pouvoir vérifier le métrage sans interrombre le flux de capture. Même si c'est possible, cela nécessite un adapteur sans fil Sony CBK-WA100 ou CBK-WA101 qui supporte uniquement les caméras professionnels XDCAM. De ce fait, l'option est réservée pour un secteur très spécialisé.

Un nouveau panneau Loudness Meters mesure les niveaux de l'audio par l'énergie sonore plutôt que par la visualisation habituelle sous forme de vagues. On peut utiliser plusieurs affichages pré-calibrés afin de suivre les directives de la diffusion en Europe. Mais cela reste inaccessible pour les débutants, car on manque cruellement de documentation. Et de ce fait, cela reste encore une fois réservé aux connaisseurs du processus.

L'application iPad de Sony Vegas Pro 13

L'application iPad Vegas Pro Connect qui accompagne le logiciel est plus inclusive. Elle communique avec le logiciel via un réseau local et elle sert également de télé-commande sans fil et de système de commentaires. Elle inclut les boutons conventionnels pour le transport, mais elle s'est aussi améliorée par les contrôles gestuels. Le résultat est qu'on peut garder les yeux sur le moniteur et naviguer dans la Timeline de manière plus précise. La vitesse du glissement à gauche ou à droite peut varier selon qu'on utilise 1, 2 ou 3 doigts.

L'application iPad vous permet également de créer des marqueurs sur la Timeline. L'interface basée sur les gestes inclut 4 marqueurs de labels qui sont Check Color, Check Mix, Edit et SFX. Les contrôles de transport ajoutent une option personnalisée où vous pouvez ajouter votre propre texte.

Avec ces options, Sony Vegas Pro 13 nous propose un système élégant qui optimise le travail en équipe. Cela permet à un utilisateur qui n'est pas chevronné de contrôler le Playback et d'ajouter des commentaires par trame. Le contrôle par geste est également disponible pour l'annulation ou la répétition d'une tâche et cela montre qu'un seul utilisateur peut utiliser l'application sans aucun problème.

L'application iPad de Sony Vegas Pro 13 possède une autre fonction qui est que les projets peuvent être rendus en 720P et on peut les transférer dans le stockage interne de l'iPad pour le visionnage. On peut ajouter des commentaires à cette prévisualisation et ces derniers apparaîtront dans la Timeline de Sony Vegas Pro 13 lorsque les deux appareils (PC et iPad) se détecteront dans le réseau. C'est idéal pour les clients qui veulent voir la progression du projet dans le studio de production.

La gestion des transferts est simple et il y a peu de risques sur des copies supplémentaires et inutiles. En effet, les vidéos sont uniquement disponibles dans l'application. Cependant, les commentaires deviennent envahissants avec plusieurs contributeurs, notamment si l'administrateur du logiciel possède son propre système de marqueurs. Et on ne parle même pas des complications dans les environnements de montage vidéo professionnels où il n'est pas possible de contrôler les projets qui peuvent être accédés par un client donné à part le fait de supprimer les fichiers.

Dans l'environnement Desktop, on retrouve de petites améliorations dans Sony Vegas Pro 13. Les astuces d'édition qui étaient disponibles avec les touches Ctrl, Shift et Alt possèdent désormais leurs propres boutons. On peut citer notamment l'outil Slip qui permet de déplacer le contenu d'un clip sans changer sa position de début et de fin dans la Timeline. D'autres commandes qui étaient uniquement disponibles dans le menu possèdent également leurs boutons dédiés.

Le support de la 4K dans Sony Vegas Pro 13

Vegas Pro supportait déjà les médias en 4K, mais désormais un mode Proxy se lance automatiquement lorsqu'on importe de la 4K. Cela fonctionne bien, mais on aurait préféré avoir un contrôle plus précis via un bouton dédié de Proxy qui serait disponible sur le moniteur.

On a 7 nouveaux effets grâce à FXhome. Ce sont les mêmes qu'on peut trouver dans Movie Studio Platinium 13 et on peut dire que ceux de Sony Vegas Pro 13 tendent à manquer d'une certaine visibilité et d'une petite perte dans les performances. On a également 10 effets provenant de NewBlue Video Essentials VI, notamment un excellent outil pour les clés chromatiques et de nombreuses fonctions pour la correction des couleurs et le Composting.

Sony Vegas Pro 13 est disponible en trois variantes qui sont Edit (environ 300 euros), Standard (environ 440 euros) et Suite ( environ 590 euros).Dans la version Edit, on n'a pas le Bundle des plugins NewBlue et les options pour graver sur un disque. La version Suite possède toutes les options et elle vous donne également Sound Forge 11 et FXhome HitFilm 2 Ultimate. Quand on voit les bonus ajoutés dans la variante Suite, le prix est plutôt intéressant.

En conclusion

Si on parle uniquement de Windows, Adobe Premiere Pro est le seul concurrent qui peut rivaliser avec la qualité de Sony Vegas Pro 13. Cependant, Adobe Premiere Pro est passé dans un modèle d'abonnement d'environ 200 dollars par année ce qui risque de causer sa perte. Certes, Premiere Pro propose des fonctionnalités Premium telles que les séquences nichées ou les animations, mais Sony Vegas Pro 13 est plus rapide à utiliser. Au final, on peut dire qu'il n'y aucun vainqueur entre ces leaders.

Si vous utilisez Sony Vegas Pro 13 ou Premiere Pro, alors vous aurez besoin d'un logiciel de retouche. La suite Creative Cloud vous propose Photoshop ou After Effect, mais tout le Package vous coûtera environ 500 dollars par année. Si vous vous réfugiez chez Sony, celui-ci vous permettra d'utiliser Photoshop Elements qui est moins cher et surtout que vous pourrez mettre à jour vos applications comme vous voulez. Et si on regarde tout ce que Sony nous propose avec Sony Vegas Pro 13 Suite avec Sound Forge 11, HitFilm Ultimate et Photoshop Elements, on peut dire qu'il y a tous les outils qui sont indispensables à n'importe quel montage vidéo dans le secteur professionnel.

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Test de l'Intel Galileo, la réponse d'Intel au Rasperry PI

Il y a quelques années, seuls quelques personnes connaissaient le concept des PC à une seule carte qu'on appelle aussi des kits de développement. Ceux qui voulaient se lancer dedans devaient se fournir chez des fournisseurs spécialisés et ça coûtait la peau des fesses.

Ensuite, Arduino a débarqué avec son concept de micro-contrôleur avec un matériel ouvert. Avec un prix inférieur à 50 dollars, des milliers de personnes ont découvert la joie de la programmation électronique et la construction de petits circuits. Ensuite, le Rasperry PI débarqua dans les bacs et les kits de développement firent la une de tous les médias. De nos jours, le Rasperry PI est un ordinateur Low Cost qu'on trouve dans de nombreuses salles de classe et on peut le trouver chez tous les grands vendeurs et c'est une chose qui était inimaginable il y a quelques années.

Pour Intel, ces 2 projets représentent la plus grande menace face à son monopole sur le marché des PC. Plutôt que d'utiliser une série d'instruction X86, le Rasperry PI utilise un série concurrente sous l'ARM-Cambridge. Si les développeurs commencent à programmer en ARM, alors ce serait une catastrophe sans précédent pour Intel et c'est pourquoi, il nous propose Galileo pour combattre cette menace.

L'Intel Galileo est conçu pour les bidouilleurs. C'est également un partenariat entre Intel et Arduino et c'est aussi une occasion pour Intel de promouvoir son processeur Quark qui se concentre sur l'économie d'énergie.

Intel Galileo, la compatibilité avec Arduino 

Lancé en 2005 comme un kit de développement pour les étudiants, Arduino est le chouchou des bidouilleurs et des constructeurs de circuits. On peut trouver des appareils Arduino sur de nombreux domaines allant des tours motorisées jusqu'aux dispositifs pour ouvrir des portes par une combinaison. Des millions d'Arduino ont été vendus dans le monde et il existe un gros marché sur les Shields qui sont des Addons permettant d'étendre les possibilités de la carte de base.

Pour Intel, le support d'Arduino est une aubaine, car il n'a pas besoin de promouvoir son circuit à partir de zéro et il obtient automatiquement une légitimité de la part d'Arduino en personne.

L'Intel Galileo ressemble à l'Arduino sur de nombreux aspects. On a les GPIOs qui sont les puces générales pour l'entrée et la sortie et le design d'Arduino pour assurer la compatibilité avec les Shields. On peut également utiliser une version modifiée de l'IDE d'Arduino. Ainsi, ceux qui sont capables d'utiliser Arduino se retrouveront en terrain familier avec l'Intel Galileo.

Le secret du succès d'Arduino est une librairie de programmation extrêmement modulaire qui permet de programmer rapidement des applications afin de commander vos projets électroniques. Les différents broches d'Arduino et donc de Galileo par extension peuvent être utilisés pour les entrées analogiques, pour mesurer différents voltages des aspects tels que l'humidité ou le gaz ou pour contrôler des potentiomètres. On peut également utiliser des sorties numériques pour contrôler des interphones ou des LED. Ce kit de développement supporte également la pulsation par modulation (PWM) qui permet d'activer et de désactiver un signal des centaines de fois par seconde. Cela permet, par exemple, de contrôler des servos ou de modifier la luminosité d'un LED.

Et on peut faire tout ça en écrivant un Sketch qui est le nom donné à un programme Arduino. Et le Sketch pour l'Intel Galileo est similaire même si on a besoin d'une version modifiée du système Arduino pour le faire fonctionner. Mais sur le plan visuel, les deux sont identiques et Arduino supportera Galileo en natif dans le futur.

L'Intel Galileo, le processeur Quark

Quand on voit le prix de l'Intel Galileo, on se dit que ce n'est pas intéressant si c'est un simple clone de l'Arduino. Mais même si l'Intel Galileo peut lancer n'importe quel Sketch Arduino sans aucune modification, l'ingrédient secret d'Intel est le processeur Quark qui équipe le système.

Quark est le premier processeur d'Intel basé sur l'architecture ARM qui se concentre sur l'économie d'énergie. Il utilise une architecture classique 32 Bits en x86, mais le processus de fabrication est bien plus simplifié tout en augmentant la fréquence du CPU. Ainsi, Intel nous propose un CPU qui utilise très peu d'énergie tout en pouvant exécuter du code X86.

Le Quark n'est pas une machine de guerre. Son simple cœur tourne à 400 Mhz et un test de compression sur un fichier de 10 Mo a pris 25,9 secondes et c'est une éternité comparé aux 8,3 secondes du Rasperry PI. La performance est également médiocre quand on lance des Sketchs gourmands en ressources. En fait, l'Intel Galileo n'arrive pas à suivre dans tout ce qui implique des changements rapides dans les broches GPIOs. Cependant, contrairement au Rasperry PI, l'Intel Galileo n'est pas conçu pour devenir un PC à part entière. On n'a pas de sortie vidéo et on ne peut pas connecter une souris ou un clavier.

Au lieu, l'Intel Galileo vise principalement le marché des micro-contrôleurs. Le Quark n'est pas le CPU le plus rapide, mais il est plus performant pour tourner du code complexe qu'un micro-contrôleur standard. Et il possède son propre système d'exploitation avec le Yocto Project Linux. Ainsi, cela permet à l'Intel Galileo de lancer des programmes tels qu'un serveur web ou une base de donnée qui nécessiterait normalement un PC dédié.

Cela permet aussi à Intel de justifier le prix du Galileo. Le prix d'un micro-contrôleur Arduino Uno est d'environ 30 dollars et un Addon Ethernet coûte environ 40 dollars. En revanche, l'Intel Galileo avec son prix entre 75 et 80 dollars vous permet d'avoir les deux.

En conclusion

On peut dire que le design de l'Intel Galileo est brillamment conçu. En assurant la compatibilité avec les projets Arduino standard, il peut attirer les utilisateurs habitués à l'Arduino. Mais sa performance générale est plutôt faible comparé à ses rivaux et il souffre d'une surchauffe considérable puisque sa température moyenne est de 60 degrés Celsius et il n'est pas adapté pour un PC à part entière. Mais pour ceux qui cherchent un bon micro-contrôleur, l'Intel Galileo possède beaucoup de potentiel.

Mais Galileo nous montre aussi qu'Intel a lancé son offensive sur le marché Low Cost et qu'il attend beaucoup de son processeur Quark.

Lire plus d'informations sur LDLC concernant l'Intel Galileo

Youtube pourrait racheter Twitch pour 1 milliards de dollars

Ce n'est pas vraiment une surprise et on est étonné que Youtube ne le fasse que maintenant. Il pourrait racheter Twitch pour 1 milliards de dollars. Si cela se confirme, le monopole de Google sur la vidéo sera absolu.